Bloomberg Medi Initiative Africa, cet ambitieux projet de la Fondation Bloomberg Philantropie vient de boucler une formation de 7 mois à l’endroit des journalistes économiques et financiers de Côte d’Ivoire, mais aussi du Burkina Faso, du Bénin et du Togo. Ils sont donc 52 à avoir été formés aux standards internationaux sur le traitement des données économiques et financières. Ils étaient nombreux ces journalistes membres de l’Association des Journalistes Economiques et Financiers de Côte d’Ivoire a participer à cette aventure enrichissante. Parmi les prix de distinction on note la performance de Moutiou Nourou, journalisme chez Agence Ecofin, et membre de l’AJEFCI qui a reçu le prix du meilleur journaliste dans le module Journalisme Financier.
Les participants se sont aussi familiarisés avec le Terminal Bloomberg, un outil de haute portée stratégique pour tous ceux qui s’intéressent à la dynamique économique et financière dans le monde. Le président de l’AJEFCI a salué l’initiative, et surtout appeler à voir ce genre d’initiatives se renouveler pour permettre de créer un écosystème de l’information financière et économique plus fourni et adapté aux exigences des défis du continent Africain.
Bourse : Le BRVM C termine la séance en hausse ce 10/11/2021
La Bourse Régionale des Valeurs Mobilières à Abidjan termine en hausse. L’indice BRVM Composite prend +0,87% et clôture à 191,25 points. Du côté du BRVM 10 on note un gain de +0,76% à 145,72 points. Les valeurs qui ont affiché les meilleurs gains, SICOR +7,45%, CFAO Motors +7,35%, SOLIBRA +7,14%. En terme de volume, le titre ONATEL Burkina Faso enregistre près 44 702 000 fcfa pour 11 315 actions échangées. Le titre Société Ivoirienne des Banques de Côte d’Ivoire réalise le deuxième meilleur volume de la journée +12,29% des échanges, avec une valeur de 27 000 000 fcfa.
NSIA Banque Côte d’Ivoire : Ce qu’il faut savoir de la polémique autour de la vente de biens immobiliers
Le groupe NSIA serait-il dans l’œil du cyclone ? Des informations persistantes ont circulé dans la journée laissant entendre que le groupe de bancassurance s’est vu contraint de céder dans la précipitation des actifs immobiliers, dont le siège de sa filiale NSIA Banque Côte d’Ivoire située dans le quartier des affaires d’Abidjan, pour faire face à des engagements financiers.
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BRVM – CLÔTURE: LE BRVM C DÉCROCHE AU TERME DE LA SÉANCE DE CE MARDI 09/11/21
La Bourse Régionale des Valeurs Mobilières à Abidjan a accusé une nouvelle baisse. Le BRVM Composite termine à 189,60 points, un recul de -0,48%. Le BRVM 10 quand à lui cède -0,51% à 144,62 points. La valeur globale des transactions s’est limitée à 700 millions de fcfa. Trois valeurs ont fortement animé les échanges. Le titre Société Générale des Banques accuse une baisse de -0,96%, tout en réalisant 56 693 000 de fcfa, soit 18% de la valeur globale des échanges, avec 5505 titres échangés. Autre titre fortement suivi ce jour, le titre SOGC 11 560 actions échangées, pour une valeur de 56 197 255 fcfa, La valeur reste stable. Le secteur transport a assuré une bonne tenue dans l’ensemble +2,40%
Séance de travail de l’AJEFCI avec le Sénat de Côte d’Ivoire
Une délégation de l’AJEFCI a été reçue ce jour à la permanence du Sénat de Côte d’Ivoire. Il s’agissait d’une séance de travail entre les membres du bureau de l’AJEFCI et la direction de communication du Sénat. La délégation était composée de Soumahoro Stéphane (Président) et de Max Souhou Bi (Secrétaire Général). La séance de travail a duré une quarantaine de minutes. Le Sénat était représenté par Mr Michel Koffi Koffi, le Chef de Cabinet du président du Sénat, par ailleurs Directeur par intérim de l’information et de la communication, et de son sous directeur, Mr Kanté Amara. Au menu, la présentation de l’association, de sa vision, et l’ambition de nouer un partenariat institutionnel avec le Sénat. Le principe du projet de partenariat est validé. Les responsables du Sénat ont marqué leur ferme volonté d’accompagner l’AJEFCI, et d’aider à mieux rendre l’information économique accessible au grand nombre, et participer à une meilleure promotion de la Côte d’Ivoire sur le plan économique.
1ère édition du FAPEF à Abidjan : Les Journalistes économiques et financiers, acteurs de développement pour le continent africain
Des journalistes économiques et financiers de 20 pays africains ont été invités du 25 au 26 mars 2021 à l’espace CRRAE-UEMOA au Plateau (Abidjan-Côte d’Ivoire), à être des acteurs de développement pour le continent africain.
Cette invitation a été donnée au cours de la 1ère édition du Forum Africain de la Presse Économique et Financière (FAPEF), initié par le Président et Président du Comité d’Organisation, Michel Russel LOHORE, Journaliste, Membre du Club de la Presse de Lille (France), Lauréat du Prix National d’Excellence 2019 pour le Développement de la Communication en Côte d’Ivoire, en présence du Représentant du Ministre ivoirien de l’Économie et des Finances, Adama COULIBALY.
Au cours de ce Forum tenu en présentiel et par visioconférence qui a réuni des journalistes économiques de plusieurs pays africains entre autres la Côte d’Ivoire, le Sénégal, le Mali, le Bénin, le Burkina Faso, le Togo, la Guinée Bissau, le Nigeria, le Ghana, la Gambie, le Maroc, le Kenya, le Congo, etc, avec comme thème : « LE JOURNALISME ECONOMIQUE ET FINANCIER AU SERVICE DU DEVELOPPEMENT », les participants ont pu être formés au cours d’ateliers et de panels par des Formateurs et Experts d’Afrique, d’Europe (France) et de l’Amérique (États-Unis), en vue de renforcer leurs connaissances et leur permettre de traiter avec plus de professionnalisme, les questions économiques et de développement, qui constituent des défis importants pour l’avenir du continent africain.
« Le journaliste a besoin de se former, mais surtout d’aller à la recherche de l’information. On est venu pour apprendre afin d’être utiles pour nos populations », a déclaré le Président du FAPEF, M. LOHORE, lors de la cérémonie d’ouverture du Forum. Exhortant les Institutions dans le domaine de l’Économie et des Finances à permettre aux journalistes économiques et financiers, de bénéficier de formations de leurs services, qui permettra d’être outillés à rendre l’information aux populations de manière fluide et digeste à comprendre.
Pour le Représentant du Ministre ivoirien de l’Économie et des Finances, Vassongo BAMBA, ce Forum est une tribune de référence pour les journalistes et financiers du continent. « Je vous invite à soumettre les recommandations qui sortiront de ces deux jours de travaux. L’information économique doit incarner l’utilité », s’est-il exprimé.
Les Formateurs et Experts entre autres Adama WADE, Directeur de Publication de Financial Afrik, Pr Alban Emmanuel AHOURE, Maître de Conférence agrégé des Sciences Économiques de l’Université Félix Houphouët Boigny de Cocody-Abidjan, Pascal AIRAULT, Journaliste éditorialiste au service International sur l’Afrique et le Moyen-Orient de l’organe de presse « L’OPINION » en France, Alain FOKA, Journaliste à Radio France International (RFI) ; le Chef économiste de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), Alain TCHIBOGO, M. Abdou Dramane NIANG de la Banque Centrale Economique de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), etc, ont tous reconnu que les journalistes, qu’ils soient simplement journalistes ou journalistes économiques ont un rôle de développement pour la population, car ils arrivent à faire bouger les choses dans certains pays, par des investigations et thématiques abordées dans leurs écrits ; qui interpellent les populations et décideurs.
En effet, le rôle du journaliste économique est important car il permet aux Investisseurs de prendre confiance lorsqu’un pays est confronté à des crises et aux populations de prendre des décisions.
Par ailleurs, par des thématiques abordées telles que : « LES ENJEUX DES INFRASTRUCTURES POUR LA RELANCE ECONOMIQUE EN AFRIQUE » ; « LES FONDAMENTAUX DU COMMERCE INTRA-AFRICAIN » ; « COMPRENDRE ET COUVRIR LA BOURSE » ; « LES OPPORTUNITÉS DU JOURNALISME DIGITAL », etc, ils a été révélé que 25% de la population est urbaine et que l’Afrique est dans une récession ; et le rôle premier du journaliste est de déterminer à travers de données fiables à participer à la valeur active du continent africain. Indiquant que les enjeux des infrastructures pour la relance économique en Afrique restent primordiaux, quand nous savons que cela entraîne 40% de gain pour les Entreprises, s’il y a une meilleure implication dans les infrastructures, cela va aussi contribuer à une meilleure application de la ZLECAF et ajoutant que le digital reste aussi un secteur capital pour le développement du continent africain ; 300 millions de personnes n’ont pas encore accès à Internet sur le continent africain. « Les opportunités il y en a ; il faudrait mettre en exergue toutes ces opportunités par le canal des journalistes ; c’est votre rôle à vous », ont exhorté les Formateurs et Experts du FAPEF.
Cet événement a été marqué par la remise de Prix spéciaux (hors compétition) à des figures de la presse internationale pour la qualité de leurs œuvres relativement à la couverture de l’actualité économique africaine ; des personnalités, des Institutions, des Partenaires et Entreprises dont les actions pour la promotion de la presse de développement en Afrique, ainsi que les initiatives pour le renforcement des capacités des Professionnels des médias du continent.
Notons que forte de ses immenses ressources et d’une croissance en hausse dans plusieurs pays avant la crise sanitaire de la COVID-19, l’Afrique constitue aujourd’hui pour bon nombre d’Experts, le continent de l’avenir. Certes, les obstacles sont légion et persistent, mais l’espoir est plus fort que jamais. L’Afrique est désormais vue par des Multinationales et des Investisseurs de premier plan comme une chance, un vivier d’opportunités entrepreneuriales. Il n’est plus rare que les meilleurs magazines économiques du monde consacrent leurs pages au potentiel économique des pays africains et aux Entrepreneurs en vogue. Cependant, la presse économique et financière occupe une place dérisoire sur le continent, surtout en Afrique noire francophone. La crise de la pandémie à Coronavirus qui a causé l’effondrement de bon nombre d’économies, avec de graves conséquences sur des Secteurs stratégiques, devrait constituer pour les Journalistes africains, une opportunité de productions de qualité afin d’apporter leur contribution à la relance économique et au développement de l’Afrique, souligne-t-on.
Rappelons que le FAPEF a eu pour sa 1ère édition comme participants des Partenaires au développement, des Décideurs gouvernementaux, des Partenaires notamment la BRVM, la Commission Économique des Nations Unies pour l’Afrique (UNECA), la BCEAO, la Banque Arabe pour le Développement Économique en Afrique (BADEA), Africa50.
Nadège Koffi – Afriqueconomie
Deux jours de réflexions pour les journalistes économiques et financiers de 20 pays africains à Abidjan
Des journalistes économiques et financiers de 20 pays africains seront réunis du 25 au 26 mars 2021 à l’espace CRRAE-UEMOA au Plateau (Abidjan-Côte d’Ivoire), en vue de mener des réflexions et être formés sur des thématiques liés au domaine de la finance et de l’économie.
Cette rencontre qui s’inscrit dans le cadre de la 1ère édition du Forum Africain de la Presse Économique et Financière (FAPEF), initié par le Président et Président du Comité d’Organisation, Michel Russel LOHORE, Journaliste, Membre du Club de la Presse de Lille (France), Lauréat du Prix National d’Excellence 2019 pour le Développement de la Communication en Côte d’Ivoire, réunira des journalistes économiques de plusieurs pays africains entre autres le Sénégal, le Mali, le Bénin, le Burkina Faso, le Togo, la Guinée Bissau, le Nigeria, le Ghana, la Gambie, le Maroc, le Kenya, le Congo, etc.
En effet, les formateurs qui viendront d’Afrique, de l’Europe (France) et de l’Amérique (États-Unis), va permettre aux participant de renforcer les connaissances des journalistes afin de leur permettre de traiter avec plus de professionnalisme, les questions économiques et de développement, qui constituent des défis importants pour l’avenir du continent africain.
Par ailleurs, avec des thématiques tels que : « LE JOURNALISME ECONOMIQUE ET FINANCIER AU SERVICE DE DEVELOPPEMENT » ; « LES FONDAMENTAUX DE LA POLITIQUE MONÉTAIRE » ; « COMPRENDRE ET COUVRIR LA BOURSE » ; « LES OPPORTUNITÉS DU JOURNALISME DIGITAL », etc animés par des experts dans le domaine entre autres, Adama WADE, Directeur de Publication de Financial Afrik, Pr Alban Emmanuel AHOURE, Maître de Conférence agrégé des Sciences Économiques de l’Université Félix Houphouët Boigny de Cocody-Abidjan, Pascal AIRAULT, Journaliste éditorialiste au service International sur l’Afrique et le Moyen-Orient de l’organe de presse « L’OPINION » en France, Alain FOKA, Journaliste à Radio France International (RFI) ; etc sera également une opportunité pour les journalistes participants, de rencontrer les Institutions et les Entreprises afin de recueillir des informations sur leurs actions et grands Projets et de discuter des mutations majeures de l’économie continentale.
Notons le FAPEF aura comme participants des Partenaires au développement, des Décideurs gouvernementaux, des Partenaires à la 1ère édition notamment la BRVM, la Commission Économique des Nations Unies pour l’Afrique (UNECA), la BCEAO, la Banque Arabe pour le Développement Économique en Afrique (BADEA), Africa50.
Nadège Koffi – Afriqueconomie
La Côte d’Ivoire se dote d’une Association de Journalistes Economiques et Financiers
En Côte d’Ivoire, le paysage associatif de la presse s’agrandit. L’Association des Journalistes Economiques et Financiers de Côte d’Ivoire (AJEF-CI vient de voir le jour. L’association vient ainsi répondre à une recommandation du fonds Monétaire International, à savoir doter les pays en développement de mécanismes d’information économique et financière professionnels. Mais au delà, l’association a pour ambition de permettre au citoyen ordinaire de mieux comprendre l’évolution économique et financière du moment.
L’assemblée générale constitutive de cette nouvelle plate-forme professionnelle de la presse s’est tenue ce mercredi 24 février. Et c’est Stéphane Soumahoro présentateur principal de l’émission économique à succès ECO DEBAT, sur la télévision panafricaine MEDI 1 TV qui a été désigné par ses pairs pour présider aux destinées de l’association, pour un mandat de trois (3) ans.
Pour le président, « l’objectif de son mandat se situe à trois niveaux. Premièrement, il s’agira de la formation des membres, pour qu’ils soient de véritables journalistes spécialisés des économiques et financières, et non plus des obligés des services de communication à qui l’on transmet des informations « clés en main ». Ils auront les outils et les compétences pour analyser et décrypter l’information économique et financière pour être de véritables relais. Il s’agira en second lieu de promouvoir la corporation, et de défendre les interêts des membres. Et enfin, et surtout d’être des lanternes pour les populations, les lecteurs, auditeurs, téléspectateurs et internautes, pour familiariser le grand public à l’économie et aux finances ».
Une initiative qui vient rencontrer l’adhésion des organismes financiers et économiques nationaux et sous régionaux en quête d’une structure établie et organisée, pour mieux sensibiliser et former les populations, ainsi que les décideurs sur les nouvelles orientations économiques et financières observées sur le continent.
SERCOM
Journalisme économique et financier / Le Ministre Adama Koné : « Nous devons avoir une presse à la hauteur de nos ambitions »
Le Ministre de l’Economie et des Finances, Adama Koné, a présidé l’ouverture d’un séminaire de « Formation en Journaliste Economique et Financier » initié par le Fonds monétaire international (FMI). C’était le mardi 24 juillet 2018 au 20e étage de l’immeuble Sciam au Plateau.
Le Ministre Adama Koné a indiqué aux journalistes en formation que ce séminaire a pour objectif de mieux les familiariser avec les institutions financières que sont la BCEAO, le FMI et l’UEMOA à travers leurs principales missions et leurs interrelations.
« Il s’agira d’aborder les thématiques telles que le journalisme économique, les notions essentielles, notamment le cycle économique, les indicateurs, le rôle de la Banque Centrale dans la politique monétaire et son impact sur l’économie, le rôle du FMI dans l’économie mondiale, le financement de l’Etat et la restructuration de la dette, etc., sans oublier la déontologie, le cadre juridique et les risques légaux liés au métier de journaliste économique. Cette formation permettra, entre autres, de répondre aux préoccupations majeures que se posent les professionnels des médias dans le traitement des sujets d’actualité à caractère économique, financier et monétaire », a-t-il précisé.
Le Ministre de l’Economie et des Finances a, également, noté que le renforcement des capacités des professionnels des médias, qui constituent le trait d’union entre les institutions et les populations ivoiriennes, s’avère crucial pour que les journalistes puissent poser un regard neuf sur la recherche, l’exploitation, la gestion et la redistribution de nos ressources, et aussi sur les questions économiques en général. En effet, a-t-il poursuivi, pour mieux informer les populations, il faut allier savoir-faire et connaissances précises. Los mejores suplementos de culturismo para explotar los resultados de tu entrenamiento rexogin descargar entrenamiento en casa para hombres culturismo apk – versión 1.0.14 – apk4share. C’est tout l’enjeu de cette session de formation qui veut accompagner efficacement les efforts des femmes et hommes des médias dans leur quête quotidienne de l’information vraie et utile.
« Au regard des enjeux et des défis actuels, nos médias n’ont pas le droit de décevoir. Nous devons avoir une presse à la hauteur de nos ambitions qui obéissent aux normes et standards de qualité, de performance et d’efficacité. A cet égard, les journalistes en général et ceux évoluant dans le secteur économique en particulier doivent rendre les articles plus digestes pour les lecteurs et auditeurs en communiquant en des termes simples et compréhensibles. Or l’information économique, qui doit être accessible à tout le monde, apparait très complexe à certains égards », a souligné le Ministre de l’Economie et des Finances.
Pour sa part, M. José Gijon, le Représentant résident du FMI en Côte d’Ivoire, a relevé que 28% du budget de son institution sont consacrés au financement du renforcement des capacités dans tous les domaines, et un accent particulier a été mis sur la Communication. A l’en croire, ce séminaire qui prend fin le mercredi 25 juillet 2018, en est la preuve.
SOURCE : SERCOM MEF